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Sagot :
Bonsoir,
Le système de notation actuel génère du stress chez les élèves. En effet la note permet de déterminer le niveau des élèves par rapport à une norme établie par la société. Les élèves en difficultés sont ainsi marginalisés et renvoient une image négative de leur classe sociale, de leur famille mais également de leur niveau intellectuel.
La note est bien souvent un « découragement pour les élèves ».
Certains élèves ont recours à la triche pour avoir une bonne note, pour ne pas se faire “gronder” par ses parents, vivre un moment désagréable. Ces élèves ont peur d’avoir de mauvais résultats. Ils ont peur du redoublement ainsi ils trichent pour réussir scolairement. Ils trichent par manque d’assurance, même s’ils ontappris leur leçon, ça les rassure.
Quand les élèves obtiennent de bonnes notes, les parents peuvent offrir des récompenses, ils sont fiers de leur enfant.
La note entraîne une concurrence entre les élèves puisqu’elle hiérarchise alors qu’elle est censée refléter la réussite d’un travail personnel, l’acquisition de connaissances.
La compétition débute dès l’école primaire, les élèves apprennent le système par notes, jusqu’aux études supérieures….
Certains auront l’envie de travailler que pour la note, ce qui leur permettra de se classer par rapport aux autres (ce qui est différent de la notion de l’éducation, dans lequel un élève acquiert des connaissances)
Celui qui a une bonne note se considérera comme un bon élève tandis que celui ayant eu une mauvaise note se considérera comme mauvais.
Cette concurrence est permanente pour les élèves qui souhaitent intégrer les grands lycées, écoles.
C’est le cas des lycées parisiens, dans lequel “AFFELNET”, un logiciel informatique, détermine le passage d’un collégien au lycée selon un système de points, y compris les notes.
Au lycée, la plupart des élèves de seconde cherchent à obtenir une filière générale (S, ES, L), en cas d’échec, ces élèves se contentent des filières technologiques ou redoublent leur seconde, ce qui peut être douloureux pour certains.
La concurrence favorise l’individualisme et rend l’élève vaniteux, orgueilleux, au détriment de lasolidarité, voire de l’amitié (extrait vidéo)
La compétition entre élèves est similaire dans le monde du travail qui est aussi faite de compétition.
En effet les grandes entreprises chercheront à embaucher des personnes compétentes en analysant le Curriculum vitae, et donc en regardant les diplômes (pour les grandes entreprises, les études générales)
D’après Luc Chatel, ancien ministre de l’éducation nationale, “chacun s'élève et se pousse vers l’excellence”
D’après un sondage effectué auprès de nos professeurs, 12,5% sont pour le système de notation actuel, 62,5% sont contre et 25% sont indécis.
Ceux qui sont contre voudraient un autre système d’évaluation : « des appréciations personnelles sur le niveau de l’élève », « évaluation sans notation », des autres critères « Acquis/Non Acquis/En cours d’Acquisition » ou encore une « Auto évaluation » effectué par l’élève.
Un élève ne devrait jamais être identifié à ses notes car elles sont susceptibles d’évolution.
Le système de notation n’est pas toujours appliqué de la même façon par tous les professeurs.
Selon un professeur, « sans les notes les élèves ne seront plus stresser mais en pratique les élèves ne seront plus aptes a travailler car ils n’auront plus d’objectif concrets a atteindre » .Ils sont donc livrés à eux même et seulement une minorité continuera à travailler.
Ces professeurs sont donc globalement contre ce système de notation alors que les ministres et 80%des français souhaitent le maintien du système de notation, d’après le sondage de « l’Ifop »
On constate une diversité dans les opinions des différents acteurs.
Le système de notation actuel génère du stress chez les élèves. En effet la note permet de déterminer le niveau des élèves par rapport à une norme établie par la société. Les élèves en difficultés sont ainsi marginalisés et renvoient une image négative de leur classe sociale, de leur famille mais également de leur niveau intellectuel.
La note est bien souvent un « découragement pour les élèves ».
Certains élèves ont recours à la triche pour avoir une bonne note, pour ne pas se faire “gronder” par ses parents, vivre un moment désagréable. Ces élèves ont peur d’avoir de mauvais résultats. Ils ont peur du redoublement ainsi ils trichent pour réussir scolairement. Ils trichent par manque d’assurance, même s’ils ontappris leur leçon, ça les rassure.
Quand les élèves obtiennent de bonnes notes, les parents peuvent offrir des récompenses, ils sont fiers de leur enfant.
La note entraîne une concurrence entre les élèves puisqu’elle hiérarchise alors qu’elle est censée refléter la réussite d’un travail personnel, l’acquisition de connaissances.
La compétition débute dès l’école primaire, les élèves apprennent le système par notes, jusqu’aux études supérieures….
Certains auront l’envie de travailler que pour la note, ce qui leur permettra de se classer par rapport aux autres (ce qui est différent de la notion de l’éducation, dans lequel un élève acquiert des connaissances)
Celui qui a une bonne note se considérera comme un bon élève tandis que celui ayant eu une mauvaise note se considérera comme mauvais.
Cette concurrence est permanente pour les élèves qui souhaitent intégrer les grands lycées, écoles.
C’est le cas des lycées parisiens, dans lequel “AFFELNET”, un logiciel informatique, détermine le passage d’un collégien au lycée selon un système de points, y compris les notes.
Au lycée, la plupart des élèves de seconde cherchent à obtenir une filière générale (S, ES, L), en cas d’échec, ces élèves se contentent des filières technologiques ou redoublent leur seconde, ce qui peut être douloureux pour certains.
La concurrence favorise l’individualisme et rend l’élève vaniteux, orgueilleux, au détriment de lasolidarité, voire de l’amitié (extrait vidéo)
La compétition entre élèves est similaire dans le monde du travail qui est aussi faite de compétition.
En effet les grandes entreprises chercheront à embaucher des personnes compétentes en analysant le Curriculum vitae, et donc en regardant les diplômes (pour les grandes entreprises, les études générales)
D’après Luc Chatel, ancien ministre de l’éducation nationale, “chacun s'élève et se pousse vers l’excellence”
D’après un sondage effectué auprès de nos professeurs, 12,5% sont pour le système de notation actuel, 62,5% sont contre et 25% sont indécis.
Ceux qui sont contre voudraient un autre système d’évaluation : « des appréciations personnelles sur le niveau de l’élève », « évaluation sans notation », des autres critères « Acquis/Non Acquis/En cours d’Acquisition » ou encore une « Auto évaluation » effectué par l’élève.
Un élève ne devrait jamais être identifié à ses notes car elles sont susceptibles d’évolution.
Le système de notation n’est pas toujours appliqué de la même façon par tous les professeurs.
Selon un professeur, « sans les notes les élèves ne seront plus stresser mais en pratique les élèves ne seront plus aptes a travailler car ils n’auront plus d’objectif concrets a atteindre » .Ils sont donc livrés à eux même et seulement une minorité continuera à travailler.
Ces professeurs sont donc globalement contre ce système de notation alors que les ministres et 80%des français souhaitent le maintien du système de notation, d’après le sondage de « l’Ifop »
On constate une diversité dans les opinions des différents acteurs.
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