Bonjour, j'aimerai savoir quels sont les arguments énoncés dans ce texte svp (il s'agit d'une partie de l'acte I de la scène 2 de Don Juan):
"Ah! n'allons point songer au mal qui nous peut arriver, et songeons seulement à ce qui nous peut donner du plaisir. La personne dont je te parle est une jeune fiancée, la plus agréable du monde, qui a été conduite ici par celui même qu'elle y vient épouser; et le hasard me fit voir ce couple d'amants trois ou quatre jours avant leur voyage. Jamais je n'ai vu deux personnes être si contents l'un de l'autre, et faire éclater plus d'amour.La tendresse visible de leurs mutuelles ardeurs me donna de l'émotion; j'en fus frappé au coeur et mon amour commença par la jalousie. Oui, je ne pus souffrir d'abord de les voir si bien ensemble; le dépit alarma mes désirs, et je me figurai un plaisir extrême à pourvoir troubler leur intelligence, et rompre cet attachement, dont la délicatesse de mon coeur se tenait offensée; mais jusques ici tous mes efforts ont été inutiles, et j'ai recours au dernier remède."
"Ah! n'allons point songer au mal qui nous peut arriver, et songeons seulement à ce qui nous peut donner du plaisir. La personne dont je te parle est une jeune fiancée, la plus agréable du monde, qui a été conduite ici par celui même qu'elle y vient épouser; et le hasard me fit voir ce couple d'amants trois ou quatre jours avant leur voyage. Jamais je n'ai vu deux personnes être si contents l'un de l'autre, et faire éclater plus d'amour.La tendresse visible de leurs mutuelles ardeurs me donna de l'émotion; j'en fus frappé au coeur et mon amour commença par la jalousie. Oui, je ne pus souffrir d'abord de les voir si bien ensemble; le dépit alarma mes désirs, et je me figurai un plaisir extrême à pourvoir troubler leur intelligence, et rompre cet attachement, dont la délicatesse de mon coeur se tenait offensée; mais jusques ici tous mes efforts ont été inutiles, et j'ai recours au dernier remède."