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Sagot :
A.M.A.T
Ainsi, mon cher ami, vous allez donc partir !
Adieu ; laissez les sots blâmer votre folie.
Quel que soit le chemin, quel que soit l’avenir,
Le seul guide en ce monde est la main d’une amie.Vous me laissez pourtant bien seul, moi qui m’ennuie.
Mais qu’importe ? L’espoir de vous voir revenir
Me donnera, malgré les dégoûts de la vie,
Ce courage d’enfant qui consiste à vieillir.Quelquefois seulement, près de votre maîtresse,
Souvenez-vous d’un coeur qui prouva sa noblesse
Mieux que l’épervier d’or dont mon casque est armé ;Qui vous a tout de suite et librement aimé,
Dans la force et la fleur de la belle jeunesse,
Et qui dort maintenant à tout jamais fermé. Alfred de Musset ABRI
Dans les lignes de ta main
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et qu’avons même destin.Dans les lignes de ta main
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.Dans le creux de ta paume
Où ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme. Comme un baume.Esther Granek, AIR VIF
Derniers poèmes d’amour.J’ai regardé devant moi
Dans la foule je t’ai vue
Parmi les blés je t’ai vue
Sous un arbre je t’ai vueAu bout de tous mes voyages
Au fond de tous mes tourments
Au tournant de tous les rires
Sortant de l’eau et du feuL’été l’hiver je t’ai vue
Dans ma maison je t’ai vue
Entre mes bras je t’ai vue
Dans mes rêves je t’ai vueJe ne te quitterai plus.Paul EluardAMITIER FIDEL
(Parmi les doux transports d’une amitié fidèle,
Je voyais près d’Iris couler mes heureux jours:
Iris que j’aime encore, et que j’aimerai toujours,
Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle:Quand, par l’ordre du ciel, une fièvre cruelle
M’enleva cet objet de mes tendres amours;
Et, de tous mes plaisirs interrompant le cours,
Me laissa de regrets une suite éternelle.Ah! qu’un si rude coup étonna mes esprits!
Que je versais de pleurs! que je poussais de cris!
De combien de douleurs ma douleur fut suivie!Iris, tu fus alors moins à plaindre que moi:
Et, bien qu’un triste sort t’ait fait perdre la vie,
Hélas! en te perdant j’ai perdu plus que toi.Nicolas Boileau AMITIER SOUS X
Pauvre enfant
elle croyait l’amitié indissoluble
unique
primordiale dans l’esprit
partagée dans la penséeLa trahison l’attendait sur ce plan d’eau solitaire
La barque partit sans elle
Restèrent seul les vaguelettes du désespoir
présentes à cet accouchement de vie Sybille RembardMUET
Ainsi, mon cher ami, vous allez donc partir !
Adieu ; laissez les sots blâmer votre folie.
Quel que soit le chemin, quel que soit l’avenir,
Le seul guide en ce monde est la main d’une amie.Vous me laissez pourtant bien seul, moi qui m’ennuie.
Mais qu’importe ? L’espoir de vous voir revenir
Me donnera, malgré les dégoûts de la vie,
Ce courage d’enfant qui consiste à vieillir.Quelquefois seulement, près de votre maîtresse,
Souvenez-vous d’un coeur qui prouva sa noblesse
Mieux que l’épervier d’or dont mon casque est armé ;Qui vous a tout de suite et librement aimé,
Dans la force et la fleur de la belle jeunesse,
Et qui dort maintenant à tout jamais fermé. Alfred de Musset ABRI
Dans les lignes de ta main
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et qu’avons même destin.Dans les lignes de ta main
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.Dans le creux de ta paume
Où ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme. Comme un baume.Esther Granek, AIR VIF
Derniers poèmes d’amour.J’ai regardé devant moi
Dans la foule je t’ai vue
Parmi les blés je t’ai vue
Sous un arbre je t’ai vueAu bout de tous mes voyages
Au fond de tous mes tourments
Au tournant de tous les rires
Sortant de l’eau et du feuL’été l’hiver je t’ai vue
Dans ma maison je t’ai vue
Entre mes bras je t’ai vue
Dans mes rêves je t’ai vueJe ne te quitterai plus.Paul EluardAMITIER FIDEL
(Parmi les doux transports d’une amitié fidèle,
Je voyais près d’Iris couler mes heureux jours:
Iris que j’aime encore, et que j’aimerai toujours,
Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle:Quand, par l’ordre du ciel, une fièvre cruelle
M’enleva cet objet de mes tendres amours;
Et, de tous mes plaisirs interrompant le cours,
Me laissa de regrets une suite éternelle.Ah! qu’un si rude coup étonna mes esprits!
Que je versais de pleurs! que je poussais de cris!
De combien de douleurs ma douleur fut suivie!Iris, tu fus alors moins à plaindre que moi:
Et, bien qu’un triste sort t’ait fait perdre la vie,
Hélas! en te perdant j’ai perdu plus que toi.Nicolas Boileau AMITIER SOUS X
Pauvre enfant
elle croyait l’amitié indissoluble
unique
primordiale dans l’esprit
partagée dans la penséeLa trahison l’attendait sur ce plan d’eau solitaire
La barque partit sans elle
Restèrent seul les vaguelettes du désespoir
présentes à cet accouchement de vie Sybille RembardMUET
Ouvre-moi tes bras
Et me sois refugeOuvre-moi tes bras
Et me sois rempartOuvre-moi tes bras
Et me sois espoirOuvre-moi tes bras
Et me sois bien-êtreOuvre-moi tes bras
Quand me vois paraîtreOuvre-moi tes bras…
Et me sois…
Refuge…Esther Granek
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