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Sagot :
Ma grand mère habite dans une maison située au fond d'un boisdont le premier voisin est trés éloigné.
Si pendant la journée, je prends plaisir à m'évader dans le bois le soir venu je préfère me réfugier auprés de la cheminée pendant que mes grands parents vaquent à leurs occupations.
Un soir on me pria de bien vouloir me rendre dans la cave de la maison pour y aller chercher des légumes qui y étaient au frais.
Je redoutais cet endroit mal éclairé et où se trouvait un bric à brac de vieux objet qui projetaient des ombres qui me faisaient peur.
J'allumais dans le couloir la lumière des escaliers qui menaient à la cave, terrorisée et presque paralysée. La chaire de poule courait dans mon dos, j'avais chaud, j'avais froid.Lesyeux écarquillés pourtant pour trouver les objets demandés je posais mes mains sur le bord de mes tempes pour ne pas apercevoir les ombres tant redoutées. Je pris les légumes et à toutes jambes, je remontais prise de panique les escaliers et refermais la porte à clef. Haletante, je remis les légumes et je vis un sourire amusé sur le visage de mes grands-parents qui m'assurèrent que eux aussi à mon âge avaient eu les mêmes craintes.
Si pendant la journée, je prends plaisir à m'évader dans le bois le soir venu je préfère me réfugier auprés de la cheminée pendant que mes grands parents vaquent à leurs occupations.
Un soir on me pria de bien vouloir me rendre dans la cave de la maison pour y aller chercher des légumes qui y étaient au frais.
Je redoutais cet endroit mal éclairé et où se trouvait un bric à brac de vieux objet qui projetaient des ombres qui me faisaient peur.
J'allumais dans le couloir la lumière des escaliers qui menaient à la cave, terrorisée et presque paralysée. La chaire de poule courait dans mon dos, j'avais chaud, j'avais froid.Lesyeux écarquillés pourtant pour trouver les objets demandés je posais mes mains sur le bord de mes tempes pour ne pas apercevoir les ombres tant redoutées. Je pris les légumes et à toutes jambes, je remontais prise de panique les escaliers et refermais la porte à clef. Haletante, je remis les légumes et je vis un sourire amusé sur le visage de mes grands-parents qui m'assurèrent que eux aussi à mon âge avaient eu les mêmes craintes.
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