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Bonsoir, URGENT j'ai besoin de vous pour une redaction svp

Sagot :

Il était onze heures du soir, et comme à mon habitude je descendais par cette escalier qui me menait au salon ou une bibliothèque dominait la pièce pour y chercher un livre qui m'aiderait à m'endormir. À ce moment là, j'entendis des bruits assourdissant à l'intérieur des murs, comme si quelqu'un voulait en sortir . Un froid étrange me saisie, les bruits redoublaient d'intensités... Les tableaux qui parsemaient les murs étaient devenues des scènes vivantes, j'y voyait à l'intérieur les personnages peint bouger et discuter entre eux, que se passait il donc? Un des sujets d'un des tableaux se tourna vers moi en me disant de fuir cette demeure car un être malfaisant y logeait depuis des siècles et était près à sortir des entrailles de ces murs pour en faire sa victime.. La peur me saisit, le froid s'intensifiait; j'entendis pour la dernière fois un déchirement violent, des pas lourds accompagner de cris me saisir de terreur, la créature était là et s'approchait de moi.. Je ne pu bouger saisit d'angoisse et de peur.. Elle se présenta devant moi avec un regard accusateur.. Qui était il donc et pourquoi tant de haine et de colère , que me voulait il? Il était difforme, blessé, presque translucide , je voyais juste son regard qui m'inquiétait , mais en le regardant plus profondément j'y voyais de la tristesse... Mon dieu.. Quel fut l'horreur qu'avait subit cet homme.. Les personnages des tableaux continuaient de vociférer de partir très loin... Mais je restais là à essayer de comprendre pourquoi... La peur disparu et laissa la place à ma très grande curiosité... J'allais lui poser des questions pour savoir ce qu'il s'était passé... À ma grande surprise, il m'expliqua que les gens de cette ancienne demeure des siècles auparavant l'avait emmuré vivant pour qu'il ne divulgue pas les atrocités qu'il avait aperçut... Quel monstruosité, pauvre homme... Je lui rendis sa liberté en soulageant son âme , et le lendemain je pris un carton et j'y mît tous ces tableaux appartenant aux anciens propriétaires et les brûlaient jusqu'à ce qu'ils disparaissent à jamais... Je n'entendais plus de bruits le soir... Mais comme une présence, un souffle serein, un ange qui me remerciait de l'avoir aidé....