Chers citoyens de la République,
Que dire de cette abomination qui perdure outre-Atlantique, où l’ombre de la guillotine continue de planer tel un sombre corbeau sur la terre de la liberté ? Oui, je parle de la peine de mort aux États-Unis, cette pratique barbare qui tache de sang les mains d’une nation qui se prétend civilisée.
Accusation 1 : En premier lieu, je vous accuse, hauts responsables politiques, d’entretenir ce système inhumain, où la vie d’un être humain est réduite à un simple numéro sur un parchemin maculé de larmes et de désespoir.
Accusation 2 : Je vous accuse également, juges et jurés, de jouer les bourreaux modernes en prononçant des sentences de mort, condamnant ainsi des hommes et des femmes à un destin funeste, privés de tout espoir de rédemption.
Accusation 3 : Aux gardiens de la loi, je vous accuse de perpétuer cette culture de la violence d’État en exécutant froidement des condamnés, transformant ainsi vos mains en instruments de mort au service d’une justice corrompue.
Accusation 4 : Et enfin, je vous accuse, peuple américain, de rester passif face à ces crimes d’État, de fermer les yeux sur les injustices perpétrées au nom de la loi, oubliant ainsi les principes fondateurs de votre nation.
Face à cette situation insupportable, je vous conjure de prendre conscience de l’urgence de la situation et d’agir pour abolir cette pratique barbare. Si seulement les autorités américaines pouvaient enfin entendre la voix de la raison, elles pourraient mettre fin à cette abomination et rétablir la dignité humaine.
En conclusion, permettez-moi de citer les paroles immortelles de Victor Hugo dans son œuvre “Le Dernier Jour d’un Condamné” : “La peine de mort ! Quelques-uns ont-ils le droit de tuer leurs semblables ? Nul n’a ce droit, pas même le législateur. La société se venge-t-elle ? Non, elle se dégrade.”
Réveillons-nous, peuple du monde, et unissons nos voix pour mettre un terme à cette injustice insoutenable.
Dans l’attente d’un monde plus juste et plus humain, je vous prie d’agréer, chers concitoyens, l’expression de ma plus profonde indignation.
N’hésitez pas à adapter cette lettre selon vos besoins spécifiques !
