Maria Eugenia: Je pense que vous comprendrez pourquoi je n'ai pas commencer cette lettre par "Chère maman», comme quand quand je l'avais fait les dernier vacances.À ce stade, vous et moi savons ( vous l'avez toujours su moi je l'ai su il ya seulement 3ans) que vous n'êtes pas ma mère, ni que Pedro Luis etait mon père. Maintenant qu'il est mort, je suis un peu triste de savoir que vous serez désespérément seul. Mais mes vraies parents, me font encore plus de peine. J'ai etait mise au courant comme vous, qu'un avion les jeta dans la mer alors qu'il etaient vivants. Il est maintenant presque impossible pour quiconque de prouver si oui ou non, mais je suis enclin à penser que oui, comme la fureur éprouvées des amis de Pedro Luis,meme si il nous embarrasse et nous dégoûte encore, il était quelque chose de réel. Pendant la première année de mon arrivée à la maison de mes grands-parents, parfois encore,je rêvait avec vous et lui et ne pouvait pas éviter un dernier frisson d'affection.
Mes grands-parents maimaient,ils prenez soin de moi, je parle de mes parents, en essayant de créer en moi une nouvelle impulsion à vivre, mais à 18 années actuelles je dois m'avouer que ma vie est brisée et qu'il y a en mes nuits un fantasm qui revient dans lequel je me jette a la mer. Pourquoi? pourquoi faire? pour rompre avec mes parents. Dans le rêve, ils me reçoivent, très bien, les bras tendus, entouré de dauphins solidarité qui se rejoignent également a la célébration. mon existence.J'ai, sur ma table de nuit, la photo de mes parents, je sais que je viens d'eux et de personne d'autre. Les flatteries de Pedro Luis sonnent pour moi l'hypocrisie et ma mémoire ne les a pas oubliées, mais rejetées. Je crois au contraire que vos signaux étaient affection sincère et je vais les garder comme quelque chose de positif dans la situation délicate que je traverse en se moment . Peut-être un jour j'aurai la force de vous voir à nouveau, mais pour l'instant. Je suis encore plein de rancunes et de peines . Au revoir. PAULINA.
