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Sagot :
J'ai traduit plus de la moitié du texte et c'est vraiment long
Nous sommes arrivés le 13 décembre 1999 à New York, nous sommes allés en taxi dans notre nouvel appartement (…) Le lendemain de notre arrivée, j’étais assis entre les caisses de déménagement dans le nouvel appartement à Brooklyn (…) Je me tenais près de la fenêtre et je regardai les gens, qui se rendaient à leur travail. Je n’avais aucune idée où il avait atterri en fin de compte.
Je suis content de passer un Noël newyorkais, que je connaissais des cartes postales. Le grand sapin devant le Centre Rockefeller, le Central Park enneigé, l’Empire State Building illuminé. Lorsque nous nous sommes allés en voiture pour la première fois à Manhattan, il pleuvait, la queue devant le Centre Rockefeller était longue de plusieurs mètres de long, les gens nous poussaient avec leurs cabas de côté le Gameboy, que mon fils souhaitait tellement, était tous vendus. Au retour, nous sommes montés dans le mauvais métro, car je n’avais pas compris l’annonce. A cet instant-là, je compris qu’en Allemagne nous avions été protégés.
J’avais appris l’anglais à l’école. Je pensais que je m’exprimerais relativement clairement, mais pendant la première semaine je ne réussissais à exprimer les choses les plus simples. Si je voulais un petit café, on m’en servait un grand.
Mon fils prétendait que mon anglais était aussi mauvais que celui d’une immigrante russe. Le sein n’était guère mieux. Il avait 7 ans.
Lorsque nous l’avons inscrit à l’école publique de notre quartier, il pouvait quand même dire comment il s’appelait, d’où il venait et ce qu’il aimait manger. Pendant trois mois il fit les bancs de l‘école et ne disait aucun mot. Lorsqu’il recommença à parler son anglais était courant. Ma fille ne parlait pas du tout anglais. Ce n’était pas nécessaire. Elle avait à peine 2 ans.
Mes enfants allèrent alors aux écoles newyorkaises. J’avais entendu des choses affreuses sur les écoles publiques en Amérique. Que les enfants n’apprenaient rien, que les professeurs étaient mal formés, qu’il y avait des fusillades. « Envoyez Ferdinand en école privée ! » m’avait dit la maîtresse d’allemand de mon fils peur de temps avant notre déménagement.
Nous sommes arrivés le 13 décembre 1999 à New York, nous sommes allés en taxi dans notre nouvel appartement (…) Le lendemain de notre arrivée, j’étais assis entre les caisses de déménagement dans le nouvel appartement à Brooklyn (…) Je me tenais près de la fenêtre et je regardai les gens, qui se rendaient à leur travail. Je n’avais aucune idée où il avait atterri en fin de compte.
Je suis content de passer un Noël newyorkais, que je connaissais des cartes postales. Le grand sapin devant le Centre Rockefeller, le Central Park enneigé, l’Empire State Building illuminé. Lorsque nous nous sommes allés en voiture pour la première fois à Manhattan, il pleuvait, la queue devant le Centre Rockefeller était longue de plusieurs mètres de long, les gens nous poussaient avec leurs cabas de côté le Gameboy, que mon fils souhaitait tellement, était tous vendus. Au retour, nous sommes montés dans le mauvais métro, car je n’avais pas compris l’annonce. A cet instant-là, je compris qu’en Allemagne nous avions été protégés.
J’avais appris l’anglais à l’école. Je pensais que je m’exprimerais relativement clairement, mais pendant la première semaine je ne réussissais à exprimer les choses les plus simples. Si je voulais un petit café, on m’en servait un grand.
Mon fils prétendait que mon anglais était aussi mauvais que celui d’une immigrante russe. Le sein n’était guère mieux. Il avait 7 ans.
Lorsque nous l’avons inscrit à l’école publique de notre quartier, il pouvait quand même dire comment il s’appelait, d’où il venait et ce qu’il aimait manger. Pendant trois mois il fit les bancs de l‘école et ne disait aucun mot. Lorsqu’il recommença à parler son anglais était courant. Ma fille ne parlait pas du tout anglais. Ce n’était pas nécessaire. Elle avait à peine 2 ans.
Mes enfants allèrent alors aux écoles newyorkaises. J’avais entendu des choses affreuses sur les écoles publiques en Amérique. Que les enfants n’apprenaient rien, que les professeurs étaient mal formés, qu’il y avait des fusillades. « Envoyez Ferdinand en école privée ! » m’avait dit la maîtresse d’allemand de mon fils peur de temps avant notre déménagement.
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