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Sagot :
Bonsoir Idogbe,
Relevez les sujets des verbes conjugués à un mode personnel.
Nous tirions(conditionnel présent, sujet :nous) ainsi de leur oubli, de leur inconcevable éloignement, des détails ignorés de tous les géographes. Car l’Èbre seul, qui abreuve (indicatif présent, sujet :l'Ebre) de grandes villes, intéresse (indicatif présent, sujet l'Ebre) les géographes. Mais non ce ruisseau caché sous les herbes à l'ouest de Motril, ce père nourricier d’une trentaine de fleurs. « Méfie-toi(impératif, sujet : toi) du ruisseau, il gâte (indicatif présent, sujet : il = l'Ebre) le champ... Porte-le(impératif, sujet : toi) aussi sur ta carte. » Ah ! je me souviendrais(1) (conditionnel présent, sujet : je) du serpent de Motril ! Il n'avait(indicatif imparfait, sujet : il) l'air de rien, c’est à peine si, de son léger murmure, il enchantait (indicatif imparfait, sujet :il) quelques grenouilles, mais il ne reposait (indicatif imparfait, sujet : il) que d'un œil. Dans le paradis du champ de secours, allongé sous les herbes, il me guettait (indicatif imparfait, sujet :il)à deux mille kilomètres d’ici. À la première occasion, il me changerait (conditionnel présent, sujet il= le serpent de Motril)en gerbe de flammes...
(1) es-tu sûr qu'il y a un S final à ce verbe ?
S'il n'y a pas de S final, c'est un indicatif futur, le sujet reste le même....
Relevez les sujets des verbes conjugués à un mode personnel.
Nous tirions(conditionnel présent, sujet :nous) ainsi de leur oubli, de leur inconcevable éloignement, des détails ignorés de tous les géographes. Car l’Èbre seul, qui abreuve (indicatif présent, sujet :l'Ebre) de grandes villes, intéresse (indicatif présent, sujet l'Ebre) les géographes. Mais non ce ruisseau caché sous les herbes à l'ouest de Motril, ce père nourricier d’une trentaine de fleurs. « Méfie-toi(impératif, sujet : toi) du ruisseau, il gâte (indicatif présent, sujet : il = l'Ebre) le champ... Porte-le(impératif, sujet : toi) aussi sur ta carte. » Ah ! je me souviendrais(1) (conditionnel présent, sujet : je) du serpent de Motril ! Il n'avait(indicatif imparfait, sujet : il) l'air de rien, c’est à peine si, de son léger murmure, il enchantait (indicatif imparfait, sujet :il) quelques grenouilles, mais il ne reposait (indicatif imparfait, sujet : il) que d'un œil. Dans le paradis du champ de secours, allongé sous les herbes, il me guettait (indicatif imparfait, sujet :il)à deux mille kilomètres d’ici. À la première occasion, il me changerait (conditionnel présent, sujet il= le serpent de Motril)en gerbe de flammes...
(1) es-tu sûr qu'il y a un S final à ce verbe ?
S'il n'y a pas de S final, c'est un indicatif futur, le sujet reste le même....
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