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Sagot :
Joseph a sept ans, et le malheur d'être juif en 1942. Ses parents pour le sauver, le confie à des notables qui eux-même l'envoient dans une pension catholique. Là, il rencontre le Père Pons.Pendant les trois années de guerre qui suivront, Joseph grandira avec ses secrets, ceux du prêtre, et l'amitié de Ruddy. Mais le Père Pons ne se sent pas seulement investi d'une mission auprès de ces enfants de la guerre.... Il a un projet bien plus grand.Il fallait bien que cela arrive un jour.....
Bien que l'ayant lu en très peu de temps (moins de 2 heures), j'ai été fortement déçu par ce roman d'Éric Emmanuel Schmitt. Si dans "Oscar et la dame en rose", ou "Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran", la religion était déjà présente, je ne l'avais pas ressentie que comme prétexte à un débat de fond plus vaste, une réflexion plus profonde et intéressante : les relations humaines, la connaissance de soi, la mort, la maladie, les différences etc...
Ici les digression sur la foi catholique et juive m'ont assommée, et la fin du récit de la guerre a fini de m'exaspérer. Cet acharnement des adultes à vouloir que les enfants se raccrochent à un Dieu ne pouvait évidemment que me faire réagir. Quant aux dernières pages, en ces temps de conflits israélo-libanais, elles ont pris une étrange résonance. Une conclusion comme une morale de film américain que j'exécre tout particulièrement.
L'aspect religieux mis à part (quoique ce soit vraiment le ressort de cette oeuvre), j'ai regretté également qu'Éric Emmanuel Schmitt ne fouille pas plus les situations et les personnages secondaires. En l'état, j'ai eu l'impression de lire la version accélérée d'une histoire qui aurait pu être bouleversante.Du même auteur : Lorsque j'étais une oeuvre d'art, La part de l'autre, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Oscar et la dame en rose, La nuit de Valognes, Le visiteur, Le baillon et L'école du diable, Odette Toulemonde, La rêveuse d'Ostende et L'évangile selon PilateExtrait :- Il est vrai que je ne suis pas digne du Christ. Ma vie entière ne me suffira pas pour l'imiter... Cependant l'amour peut-il être un devoir? Peut-on commander à son coeur? Je ne le crois pas. Selon les grands rabbins, le respect est supérieur à l'amour. Il est une obligation continue. Ça me semble possible. Je peux respecter ceux que je n'aime pas ou ceux qui m'indiffèrent. Mais les aimer? D'ailleurs, ai-je autant besoin de les aimer si je les respecte? C'est difficile, l'amour, on ne peut ni le provoquer, ni le contrôler, ni le contraindre à durer. Alors que le respect...
Bien que l'ayant lu en très peu de temps (moins de 2 heures), j'ai été fortement déçu par ce roman d'Éric Emmanuel Schmitt. Si dans "Oscar et la dame en rose", ou "Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran", la religion était déjà présente, je ne l'avais pas ressentie que comme prétexte à un débat de fond plus vaste, une réflexion plus profonde et intéressante : les relations humaines, la connaissance de soi, la mort, la maladie, les différences etc...
Ici les digression sur la foi catholique et juive m'ont assommée, et la fin du récit de la guerre a fini de m'exaspérer. Cet acharnement des adultes à vouloir que les enfants se raccrochent à un Dieu ne pouvait évidemment que me faire réagir. Quant aux dernières pages, en ces temps de conflits israélo-libanais, elles ont pris une étrange résonance. Une conclusion comme une morale de film américain que j'exécre tout particulièrement.
L'aspect religieux mis à part (quoique ce soit vraiment le ressort de cette oeuvre), j'ai regretté également qu'Éric Emmanuel Schmitt ne fouille pas plus les situations et les personnages secondaires. En l'état, j'ai eu l'impression de lire la version accélérée d'une histoire qui aurait pu être bouleversante.Du même auteur : Lorsque j'étais une oeuvre d'art, La part de l'autre, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Oscar et la dame en rose, La nuit de Valognes, Le visiteur, Le baillon et L'école du diable, Odette Toulemonde, La rêveuse d'Ostende et L'évangile selon PilateExtrait :- Il est vrai que je ne suis pas digne du Christ. Ma vie entière ne me suffira pas pour l'imiter... Cependant l'amour peut-il être un devoir? Peut-on commander à son coeur? Je ne le crois pas. Selon les grands rabbins, le respect est supérieur à l'amour. Il est une obligation continue. Ça me semble possible. Je peux respecter ceux que je n'aime pas ou ceux qui m'indiffèrent. Mais les aimer? D'ailleurs, ai-je autant besoin de les aimer si je les respecte? C'est difficile, l'amour, on ne peut ni le provoquer, ni le contrôler, ni le contraindre à durer. Alors que le respect...
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