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Sagot :
bonjour,
j'ai fait ça, lis, arrange,
moi j'ai pensé à quelqu'un enfermé dans un réfectoire de lycée le soir,
Enfermé dans cet endroit sombre je sortis de mon sac ma lampe qui ne me quittait jamais, habitude gardée de ma période scout. Grâce à elle je pus voir les escaliers, bien que attérré par le fait d'être enfermé je décidais de descendre voir ce qu'il y avait en dessous, conternation, c'était les cuisines. Par une fenêtre la lumière de la lune pénétrait mais aucune sortie possible.
La peur du noir, de cette salle sans possibilité d'en sortir me faisaient respirer difficilement, je decidais de remonter au réfectoire à l'étage, voir si il n'y avait pas d'issue possible. Hélas toutes le sportes étaient fermées. Quelques vestiges des repas servis traînaient par terre et j'eu peur de croiser des rats venus de je ne sais pas où, j'imaginais des choses terribles.
Vaincu par la faim et la peur, je m'assis dans un coin où je me suis endormi. Ce sont des bruits familiers qui me réveillèrent à la stupéfaction des internes venus prendre leur petit déjeuner au réfectoire.
j'ai fait ça, lis, arrange,
moi j'ai pensé à quelqu'un enfermé dans un réfectoire de lycée le soir,
Enfermé dans cet endroit sombre je sortis de mon sac ma lampe qui ne me quittait jamais, habitude gardée de ma période scout. Grâce à elle je pus voir les escaliers, bien que attérré par le fait d'être enfermé je décidais de descendre voir ce qu'il y avait en dessous, conternation, c'était les cuisines. Par une fenêtre la lumière de la lune pénétrait mais aucune sortie possible.
La peur du noir, de cette salle sans possibilité d'en sortir me faisaient respirer difficilement, je decidais de remonter au réfectoire à l'étage, voir si il n'y avait pas d'issue possible. Hélas toutes le sportes étaient fermées. Quelques vestiges des repas servis traînaient par terre et j'eu peur de croiser des rats venus de je ne sais pas où, j'imaginais des choses terribles.
Vaincu par la faim et la peur, je m'assis dans un coin où je me suis endormi. Ce sont des bruits familiers qui me réveillèrent à la stupéfaction des internes venus prendre leur petit déjeuner au réfectoire.
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