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Bonjour , pourriez-vous corriger ma rédaction s'il vous plait ? que se soit en orthograpahe , expressions , etc... et aussi me dire si elle est dans le thème ( rédaction en marge de la guerre de 1870 avec une femme ayant un role determinant et une tonalité ironique) et vos avis aussi svp.Merci
« A ce soir mère ! » étaient les derniers mots qu'elle entendait avant de quitter le lieu qui servait d'habitat à elle et sa famille.Situé dans un petit village près d'Herricourt , sa maison construite à l'aide d'un bois fragile , avait l'air de pouvoir s'écrouler à tout moment.Elle avait été construite par le frère de Mme.Moulin.Il n'y avait qu'une seule fenêtre et le toit était recouvert de foin pour s'abriter de la pluie.Elle ne protegeait ni des intempéris ni de n'importe quel personne.De toute façon chez les Moulin il n'y avait rien a voler.Son mari souffrait de consomption.Il restait allongé sur son lit toute la journée.Ses trois enfants s'occupait de lui pendant que leur mère , Mm.Moulin , partait vendre les quelques légumes qui poussait à côté de leur maison au marché.Leur situation était assez difficile.Son mari étant malade et ayant constamment besoin d'une personne à ses côté , Mme.Moulin avait chargé ses deux enfants de s'occuper de lui pendant qu'elle essayerait de gagner un peu d'argent pour les nourrir.La misère les touchaient fortement , ils avaient à pein de quoi se nourrir correctement.Ils survivait grâce à quelques aides parfois de leurs bons voisins mais sourtout grâce Mme.Moulin.Elle était le socle de cette famille.Mme.Moulin était une femme de petite taille que le temps avait marqué.Elle était timide et parlait aux personnes qui ne faisait pas parti de sa famille.C'était une épouse et une mère de famille très dévoué même si des fois elles esperait que toute cette misère cesse et qu'elle puisse arreté de se tuer à la tache et se nourrir correctement , ne plus avoir le poid de la maladie de son mari sur les épaules.Elle se préoccupait de l'état de son mari et des ses enfants et de leur sécurité.Elle profitait de ses moments où elle partait vendre ses quelques légumes pour écouter discrètement les autres marchands parler de la guerre et voir s'il y avait du nouveau.On était en 1870 , milieu du moi de novembre.Les prussiens étaient apparament arriver à Herricourt et une bataille avait eu lieu.Son cœur se serra à l'entente de ces mots prononcés par les marchands à sa droite.Elle décida de se rapprocher quand meme pour voir s'il n'y avait pas autre chose qui mettrait sa famille en danger. Les mots qui suiverent lui glaca le sang.Les prussiens étaient en train de remonter en direcyion de leur village pour piller des maisons.Elle ne savait plus quoi faire.Cette annonce lui avait retourner le ventre.Pendant un instant elle ne tenait meme plus debut et du s'assoir.Elle voulait rentrer mais avait trop peur d'affronter les visages décues de ses enfants lorsqu'il la verrait revenir les mains vides.Elle se resaisit et pour passer le temps elle se disait que de toute façon chez elle , il n'y avait rien a voler et que les soldats auraient surement pitier de son mari et ses enfants.Le temps passa et toute la journée elle se répéta la même phrase pour se remonter le morale. Elle rentrait chez elle vers 17 heures en marchant plus vite que d'habitude.Elle pensait qu'à une chose , revoir ces enfants et son mari. Dès qu'elle mis un pas dans son village son cœur commenca à battre de plus en vite. Des maisons brûlées , d'autres détruites. Des soldats prussiens qui sortaient de chaque maison. On pouvait voir le désespoir dans ses yeux mais il y avait toujours un peu d'espoir.Surtout quand elle vu sa maison intact. Elle esquisa un léger sourir comme si elle avait eu raison et que les soldats prussiens avaient bel et bien eu pitié de l'état de sa famille. Jusqu'au moment ou deux soldats sortir brusquement en criant quelque chose aux autres dans une langue autres que la sienne.Ils devaient surement leur dire qu'il n'y avait absolument rien ici. Pourtant ils avaient quand même abattus toute la famille.Mme.Moulin pouvait les apercevoir grâce à la porte grande ouverte. Le choque fut si grand qu'elle s'écroula par terre. Enfait elle ne se tuait pas à la tache puisuq'elle avait été épargné en partant travailler alors que le reste de sa famille furent eux vraiment tué. Elle pleurait. Un des soldats la vit et commença a rire. Il s'approcha d'elle et lui dit avec un lourd accent «Arrete de pleurer femme , c'est juste 3 bouches à nourrir en moins , c'est pour toi ça ».Le soldat n'avait pas tort. Elle venait de perdre toute sa famille , mais elle arreterait aussi de perdre son temps et son argent à présent...


Sagot :

bonjour

« A ce soir mère ! » étaient les derniers mots qu'elle entendit avant de quitter le lieu qui servait d'habitat à elle et sa famille.Située dans un petit village près d'Herricourt , sa maison construite à l'aide d'un bois fragile , avait l'air de pouvoir s'écrouler à tout moment.Elle avait été construite par le frère de Mme.Moulin.Il n'y avait qu'une seule fenêtre et le toit était recouvert de foin pour s'abriter de la pluie.Elle ne protégeait ni des intempéries ni de n'importe quelle personne.De toute façon chez les Moulin il n'y avait rien à voler.Son mari souffrait de consomption.Il restait allongé sur son lit toute la journée.Ses trois enfants s'occupaient de lui pendant que leur mère , Mm.Moulin , partait vendre les quelques légumes qui poussaient à côté de leur maison au marché.Leur situation était assez difficile.Son mari étant malade et ayant constamment besoin d'une personne à ses côtés , Mme.Moulin avait chargé ses deux enfants de s'occuper de lui pendant qu'elle essayerait de gagner un peu d'argent pour les nourrir.La misère les touchait fortement , ils avaient à peine de quoi se nourrir correctement.

Ils survivaient grâce à quelques aides parfois de leurs bons voisins mais surtout grâce  à Mme.Moulin.Elle était le socle de cette famille.Mme.Moulin était une femme de petite taille que le temps avait  marquée.Elle était timide et parlait aux personnes qui ne faisait pas partie de sa famille.C'était une épouse et une mère de famille très dévouée même si des fois elles espérait que toute cette misère cesse et qu'elle puisse arrêter de se tuer à la tâche et se nourrir correctement , ne plus avoir le poids de la maladie de son mari sur les épaules.Elle se préoccupait de l'état de son mari et des ses enfants et de leur sécurité.Elle profitait de ces moments où elle partait vendre ses quelques légumes pour écouter discrètement les autres marchands parler de la guerre et voir s'il y avait du nouveau.On était en 1870 , milieu du mois de novembre.Les prussiens étaient apparemment  arrivés à Herricourt et une bataille avait eu lieu.Son cœur se serra à l'entente de ces mots prononcés par les marchands à sa droite.Elle décida de se rapprocher quand même pour voir s'il n'y avait pas autre chose qui mettrait sa famille en danger. Les mots qui suivirent lui glacèrent  le sang
.Les prussiens étaient en train de remonter en direction de leur village pour piller des maisons.Elle ne savait plus quoi faire.Cette annonce lui avait retourné le ventre.Pendant un instant elle ne tînt  même plus debout et dut s'asseoir.Elle voulait rentrer mais avait trop peur d'affronter les visages déçus de ses enfants lorsqu'ils la verrait revenir les mains vides.Elle se  ressaisit et pour passer le temps elle se disait que de toute façon chez elle , il n'y avait rien à voler et que les soldats auraient  sûrement pitié de son mari et ses enfants.Le temps passa et toute la journée elle se répéta la même phrase pour se remonter le moral. Elle rentrait chez elle vers 17 heures en marchant plus vite que d'habitude.Elle ne pensait qu'à une chose , revoir ses enfants et son mari. Dès qu'elle mit un pas dans son village son cœur commença à battre de plus en plus vite. Des maisons brûlées , d'autres détruites. Des soldats prussiens qui sortaient de chaque maison. On pouvait voir le désespoir dans ses yeux mais il y avait toujours un peu d'espoir.Surtout quand elle vit  sa maison intacte. Elle esquissa un léger sourire comme si elle avait eu raison et que les soldats prussiens avaient bel et bien eu pitié de l'état de sa famille. Jusqu'au moment deux soldats sortirent brusquement en criant quelque chose aux autres dans une langue autre que la sienne.Ils devaient sûrement leur dire qu'il n'y avait absolument rien ici. Pourtant ils avaient quand même abattu toute la famille.Mme.Moulin pouvait les apercevoir grâce à la porte grande ouverte. Le choc fut si grand qu'elle s'écroula par terre. En fait elle ne se tuait pas à la tache puisqu'elle avait été épargnée en partant travailler alors que le reste de sa famille fût  vraiment tué. Elle pleurait. Un des soldats la vit et commença à rire. Il s'approcha d'elle et lui dit avec un lourd accent «Arrête de pleurer femme , c'est juste trois  bouches à nourrir en moins , c'est pour toi ça ».Le soldat n'avait pas tort. Elle venait de perdre toute sa famille , mais elle arrêterait aussi de perdre son temps et son argent à présent...
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