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Sagot :
Bonsoir,
Les êtres humains depuis des générations cultivent en masse le rêve d’une paix totale entre les hommes, mais il s’avère que c’est une totale illusion puisqu’il n’est pas dans la nature humaine de rester en paix : depuis l’antiquité les hommes n’ont pas su rester plus d’un siècle en paix, tout étant prétexte à faire la guerre.
C’est pourquoi les hommes plus dans un souci de diplomatie que de volonté première s’efforcent de limiter les conflits.Le problème de l’illusion peut être illustré avec un exemple contemporain qui touche de plus en plus de personnes dans nos sociétés occidentales, la cas des drogues. En effet une part de la population souvent névrosée, ou ayant du mal a gérer les difficultés du monde extérieur se réfugie dans son “monde”, un monde créé par la prise de stupéfiants. Un mouvement dans l’art exprime bien ce monde illusoire convoité par une minorité, le psychédélisme. Les stupéfiants plongent les
personnes dans des états dits “seconds”, dans lesquels ces derniers ne se soucient plus des pressions de la réalité et se sentent maîtres de leurs vies, libérés, heureux !
L’illusion peut également représenter la quête d’un bonheur parfait mais c’est un bonheur qu’on ne pourra jamais atteindre en vérité, car c’est un bonheur imaginaire.
Nous pouvons également ajouter que ce n’est pas souhaitable de se faire des illusions puisque cela rend le processus de retour à la réalité bien plus pénible que de rester constamment dans celle ci. La désillusion est une étape primordiale sur le chemin de la vérité, elle est une action libératrice et efficace mais elle fait bien plus mal que la lucidité gagné. Psychologiquement, l’individu est déstabilisé, il se retrouve confronté à une réalité qu’il a volontairement occulté. Mais pour de nombreux philosophes et penseurs dont Claude Roy lorsqu'on a perdu toutes ses illusions, il reste encore à perdre l'illusion suprême qui est de se croire sans illusions.
Notre raisonnement premier nous amène à penser que l’illusion n’est pas bénéfique à nos vies et que nous pouvons, dans la mesure du possible, nous en passer. Cependant nous pouvons constater que dans les habitudes des hommes résident des illusions encrées dans les mœurs des sociétés. Prenons le cas de l’art, Platon le condamne en jugeant qu’il n’est qu’une copie du réel, une simple apparence mensongère et illusoire. Nietzsche, au contraire, voit dans l’art une illusion vitale.
Comment à travers deux pensées les idées peuvent elles à ce point s’opposer ? La pensée de Nietzsche nous amène à nous questionner sur la nécessité de l’illusion dans l’existence, serait-elle, comme il l’affirme pour l’art, vitale ?
Les êtres humains depuis des générations cultivent en masse le rêve d’une paix totale entre les hommes, mais il s’avère que c’est une totale illusion puisqu’il n’est pas dans la nature humaine de rester en paix : depuis l’antiquité les hommes n’ont pas su rester plus d’un siècle en paix, tout étant prétexte à faire la guerre.
C’est pourquoi les hommes plus dans un souci de diplomatie que de volonté première s’efforcent de limiter les conflits.Le problème de l’illusion peut être illustré avec un exemple contemporain qui touche de plus en plus de personnes dans nos sociétés occidentales, la cas des drogues. En effet une part de la population souvent névrosée, ou ayant du mal a gérer les difficultés du monde extérieur se réfugie dans son “monde”, un monde créé par la prise de stupéfiants. Un mouvement dans l’art exprime bien ce monde illusoire convoité par une minorité, le psychédélisme. Les stupéfiants plongent les
personnes dans des états dits “seconds”, dans lesquels ces derniers ne se soucient plus des pressions de la réalité et se sentent maîtres de leurs vies, libérés, heureux !
L’illusion peut également représenter la quête d’un bonheur parfait mais c’est un bonheur qu’on ne pourra jamais atteindre en vérité, car c’est un bonheur imaginaire.
Nous pouvons également ajouter que ce n’est pas souhaitable de se faire des illusions puisque cela rend le processus de retour à la réalité bien plus pénible que de rester constamment dans celle ci. La désillusion est une étape primordiale sur le chemin de la vérité, elle est une action libératrice et efficace mais elle fait bien plus mal que la lucidité gagné. Psychologiquement, l’individu est déstabilisé, il se retrouve confronté à une réalité qu’il a volontairement occulté. Mais pour de nombreux philosophes et penseurs dont Claude Roy lorsqu'on a perdu toutes ses illusions, il reste encore à perdre l'illusion suprême qui est de se croire sans illusions.
Notre raisonnement premier nous amène à penser que l’illusion n’est pas bénéfique à nos vies et que nous pouvons, dans la mesure du possible, nous en passer. Cependant nous pouvons constater que dans les habitudes des hommes résident des illusions encrées dans les mœurs des sociétés. Prenons le cas de l’art, Platon le condamne en jugeant qu’il n’est qu’une copie du réel, une simple apparence mensongère et illusoire. Nietzsche, au contraire, voit dans l’art une illusion vitale.
Comment à travers deux pensées les idées peuvent elles à ce point s’opposer ? La pensée de Nietzsche nous amène à nous questionner sur la nécessité de l’illusion dans l’existence, serait-elle, comme il l’affirme pour l’art, vitale ?
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