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Sagot :
bonjour
je ne peux pas toutes te les donner mais je vais te citer celles que je connais :
la comparaison : tu la connais sûrement, lorsque que deux éléments sont mis en comparaison, lorsque leur sens se rapproche. Pour la trouver dans un texte, il ne faut pas oublier de voir un mot tel que "comme" ou "de même que" : ce genre de petits mots sont très importants.
La métaphore : ici aussi, elle est connue. C'est la même chose que la comparaison à un détail près : il n'y a a jamais d'outil comparatif !
la personnification : lorsque un ou des objets, un ou des animaux ont l'attitude, le discours d'un être humain. Pour le repérer, il faut étudier le comportement de tes personnages et te rappeler si tu veux les fables de LaFontaine.
Voilà les trois plus connues.
Ensuite,
l'oxymore (mot masculin !) : une expression avec deux idées contraires. Son but est de choquer et d'interpeller : tu dois la voir naturellement dans un texte. Voici des exemples qui peuvent t'aider à comprendre : soleil noir, étoiles noires, lumière obscure, un petit laps de temps éternel, cri silencieux,...
antithèse : à ne pas confondre avec un oxymore, c'est lorsque deux idées contraires sont exprimées dans la même phrase. Exemples : tout va bien, tout va mal ; on est en deuil, on est en fête. Pas de miracle pour la repérer dans un texte, il faut bien lire et relire ta phrase.
antiphrase : c'est un des principe de l'ironie : tu dis l'inverse de ce que tu penses pour te faire comprendre. "merci d'avoir gâché mon repas" "c'est du propre" Le plus dur n'est pas de la repérer mais de la voir parmi les phrases, ce n'est en général pas la plus compliquée à trouver.
La métonymie (attention à l'orthographe..) : c'est lorsqu'on désigne quelque chose, un état, un pays, un élément sans que ce ne soit lui qui fasse l'action. C'est assez complexe à comprendre sans exemple alors en voici : "tu n'aurais pas du feu ?" on en veut ici pas vraiment du feu, mais plutôt un briquet. "Paris s'est soulevé face à cette attaque" une ville ne se soulève pas face à un événement, ses habitants oui. "les voiles des navires prennent le large" ce ne sont pas les voiles qui s'en vont mais les bateaux. Attention à ne pas la confondre avec une métaphore. (il y a une partie en plus dans cette figure de style mais je ne saurais ni te dire laquelle, ni te la décrire)
l'accumulation : elle non-plus n'est pas dure à voir : elle forme un amas de mots énumérés, et se retrouve sous noms communs, phrase entière, adjectifs,... voici un exemple :"Décrépit, poudreux, sale, abject, visqueux, fêlé" Charles Baudelaire. ce sont ici des adjectifs. Le but est d'amplifier, de retenir l'attention.
Cette figure de style retient deux catégories qui sont possibles mais ne s'appliquent pas toujours : la gradation et la dégradation. Je pense que tu as compris le principe, mais sinon redemande moi.
L'hyperbole : c'est une exagération, souvent tirant vers l'impossible, qui permet de mettre en relief l'action. Tu la connais sûrement elle aussi, par exemple dans la phrase "il meurt de soif" quand quelqu'un a soif, mais aussi "c'est un nain" pour parler de quelqu'un de petite taille.
La litote (à ne pas confondre avec l'euphémisme) : c'est un moyen utilisé pour dire quelque chose en voulant dire beaucoup plus. je n'ai aucun conseil pour t'aider à la trouver dans un texte malheureusement mais pour te souvenir de ce que c'est, j'ai gardé l'exemple de "c'est pas trop mal" voulant en réalité dire que c'était très bon.
L'euphémisme : l'euphémisme et la litote se rapprochent énormément parce qu'ils partent tous les deux sur un principe d'atténuation. Or, l'euphémisme ne laisse rien suggérer et permet d'adoucir la réalité. L'exemple que tu peux prendre c'est "il est parti aux cieux."
Voilà, j'espère t'avoir aider et ne pas avoir fait trop de fautes mais je n'ai pas le courage de relire tout ça. Je suis vraiment désolée de ne pas pouvoir t'en donner plus mais je ne connais que celle-ci.
je ne peux pas toutes te les donner mais je vais te citer celles que je connais :
la comparaison : tu la connais sûrement, lorsque que deux éléments sont mis en comparaison, lorsque leur sens se rapproche. Pour la trouver dans un texte, il ne faut pas oublier de voir un mot tel que "comme" ou "de même que" : ce genre de petits mots sont très importants.
La métaphore : ici aussi, elle est connue. C'est la même chose que la comparaison à un détail près : il n'y a a jamais d'outil comparatif !
la personnification : lorsque un ou des objets, un ou des animaux ont l'attitude, le discours d'un être humain. Pour le repérer, il faut étudier le comportement de tes personnages et te rappeler si tu veux les fables de LaFontaine.
Voilà les trois plus connues.
Ensuite,
l'oxymore (mot masculin !) : une expression avec deux idées contraires. Son but est de choquer et d'interpeller : tu dois la voir naturellement dans un texte. Voici des exemples qui peuvent t'aider à comprendre : soleil noir, étoiles noires, lumière obscure, un petit laps de temps éternel, cri silencieux,...
antithèse : à ne pas confondre avec un oxymore, c'est lorsque deux idées contraires sont exprimées dans la même phrase. Exemples : tout va bien, tout va mal ; on est en deuil, on est en fête. Pas de miracle pour la repérer dans un texte, il faut bien lire et relire ta phrase.
antiphrase : c'est un des principe de l'ironie : tu dis l'inverse de ce que tu penses pour te faire comprendre. "merci d'avoir gâché mon repas" "c'est du propre" Le plus dur n'est pas de la repérer mais de la voir parmi les phrases, ce n'est en général pas la plus compliquée à trouver.
La métonymie (attention à l'orthographe..) : c'est lorsqu'on désigne quelque chose, un état, un pays, un élément sans que ce ne soit lui qui fasse l'action. C'est assez complexe à comprendre sans exemple alors en voici : "tu n'aurais pas du feu ?" on en veut ici pas vraiment du feu, mais plutôt un briquet. "Paris s'est soulevé face à cette attaque" une ville ne se soulève pas face à un événement, ses habitants oui. "les voiles des navires prennent le large" ce ne sont pas les voiles qui s'en vont mais les bateaux. Attention à ne pas la confondre avec une métaphore. (il y a une partie en plus dans cette figure de style mais je ne saurais ni te dire laquelle, ni te la décrire)
l'accumulation : elle non-plus n'est pas dure à voir : elle forme un amas de mots énumérés, et se retrouve sous noms communs, phrase entière, adjectifs,... voici un exemple :"Décrépit, poudreux, sale, abject, visqueux, fêlé" Charles Baudelaire. ce sont ici des adjectifs. Le but est d'amplifier, de retenir l'attention.
Cette figure de style retient deux catégories qui sont possibles mais ne s'appliquent pas toujours : la gradation et la dégradation. Je pense que tu as compris le principe, mais sinon redemande moi.
L'hyperbole : c'est une exagération, souvent tirant vers l'impossible, qui permet de mettre en relief l'action. Tu la connais sûrement elle aussi, par exemple dans la phrase "il meurt de soif" quand quelqu'un a soif, mais aussi "c'est un nain" pour parler de quelqu'un de petite taille.
La litote (à ne pas confondre avec l'euphémisme) : c'est un moyen utilisé pour dire quelque chose en voulant dire beaucoup plus. je n'ai aucun conseil pour t'aider à la trouver dans un texte malheureusement mais pour te souvenir de ce que c'est, j'ai gardé l'exemple de "c'est pas trop mal" voulant en réalité dire que c'était très bon.
L'euphémisme : l'euphémisme et la litote se rapprochent énormément parce qu'ils partent tous les deux sur un principe d'atténuation. Or, l'euphémisme ne laisse rien suggérer et permet d'adoucir la réalité. L'exemple que tu peux prendre c'est "il est parti aux cieux."
Voilà, j'espère t'avoir aider et ne pas avoir fait trop de fautes mais je n'ai pas le courage de relire tout ça. Je suis vraiment désolée de ne pas pouvoir t'en donner plus mais je ne connais que celle-ci.
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