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Sagot :
Bonjour,
J'ai fait un sujet un peu similaire, ça t'aidera je pense, je te le mets en pj
J'ai fait un sujet un peu similaire, ça t'aidera je pense, je te le mets en pj
Bonjour, attention à ne pas développer des parties qui ont l'air de se contredire, la plupart des profs détestent les plans du type thèse / antithèse / synthèse, qu'ils surnomment entre eux "plan oui/non/zut".
A mon sens la première partie est bien vue, mais il faut souligner que, même si on pense raisonner au mieux, nous sommes toujours inconsciemment limités par notre contexte socio-culturel, notre milieu social, nos goûts, etc... et même par notre personnalité : par exemple, face à un même problème, un ouvrier manuel et pragmatique ne réagira pas de la même manière qu'un intellectuel bardé de diplômes.
C'est là qu'en deuxième partie, expliquer que la philosophie peut permettre (en partie) de faire abstraction de ces contextes est réussi, oui, et la conséquence logique, en troisième partie, c'est de se demander si on DOIT le faire. Si par exemple, à cause des rapports hiérarchiques, on doit obéir à une consigne stupide, alors qu'on sait pertinemment qu'une autre méthode serait bien plus efficace, faut-il obéir quand même... ou choisir d'ignorer délibérément l'ordre donné ? Car avec la liberté de penser par soi-même viennent aussi les responsabilités, et quand on ne veut pas les assumer, au risque de se tromper, on fait partie des esclaves et non des maîtres, on sera toujours ouvrier et jamais patron, on sera toujours celui qui reçoit les ordres, jamais celui qui les donne. Il faut donc choisir si on préfère prendre ses intérêts en main, quitte à se tromper, ou si on préfère laisser les autres penser pour nous, à notre place.
Bon courage, en tout cas !
A mon sens la première partie est bien vue, mais il faut souligner que, même si on pense raisonner au mieux, nous sommes toujours inconsciemment limités par notre contexte socio-culturel, notre milieu social, nos goûts, etc... et même par notre personnalité : par exemple, face à un même problème, un ouvrier manuel et pragmatique ne réagira pas de la même manière qu'un intellectuel bardé de diplômes.
C'est là qu'en deuxième partie, expliquer que la philosophie peut permettre (en partie) de faire abstraction de ces contextes est réussi, oui, et la conséquence logique, en troisième partie, c'est de se demander si on DOIT le faire. Si par exemple, à cause des rapports hiérarchiques, on doit obéir à une consigne stupide, alors qu'on sait pertinemment qu'une autre méthode serait bien plus efficace, faut-il obéir quand même... ou choisir d'ignorer délibérément l'ordre donné ? Car avec la liberté de penser par soi-même viennent aussi les responsabilités, et quand on ne veut pas les assumer, au risque de se tromper, on fait partie des esclaves et non des maîtres, on sera toujours ouvrier et jamais patron, on sera toujours celui qui reçoit les ordres, jamais celui qui les donne. Il faut donc choisir si on préfère prendre ses intérêts en main, quitte à se tromper, ou si on préfère laisser les autres penser pour nous, à notre place.
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