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Bonjour je suis en 6e j'ai besoin d'aide il faut que je face une expression écrite en 15 ligne sur une injustice

Sagot :

C’était un mardi matin a 9 hreure en classe de français ,  la séance se déroulait dans une bonne prise ou atmosphere tout les élèves étaient concentrés sur l’explication de l exercixe du professeur. Tout vas bien et Soudain la leçon a ete interrompue par une eleve, par la grande surprise de mes camarades de classe par le cris de ma camarade de classe qui osait  m’accuser d’avoir volé son Iphone 6

Tous les regards étaient tours sur moi. On a fouillé dans mon sac et dans mes poches de manteau
Je me sentais humiliée je croyais que mes camarade m accusait
Et qu on appelait la cpe pour regler cette incident
C'était il y  a  trois  semaines,  je  venais de quitter  la  permanence  du collège après  une  absence  de professeur lorsque  je  fus  interpellé( e) par  l'assistant  d dans  le couloir. J'étais un  peu surpris (e). J'ai  d'abord  cru que  j'avais  oublié de signer  le  cahier  de  présence  dans  la  salle. Mais quelle ne   fut  pas  mon  grand  étonnement  d'apprendre qu'il me  reprochait  d'avoir  lancé  en sa direction  un  morceau de craie pour  amuser  mes  camarades  de  classe alors  qu'il avait le dos  tourné. Il  me  menaça de rédiger  un  rapport sur  cet  incident  et  de  demander  à la Conseillère d'éducation  de  me  punir. Il exigea que  je  lui  remette  mon carnet  de correspondance  pour  inscrire, à l'intention de  mes  parents,  cet  acte qu'il  me  reprochait. Je  niais  farouchement  ces accusations que  je  trouvais fausses.
Il ajouta  qu'un  de  mes camarades  de classe avait  observé  mon geste.  Je  lui  répondis que  ce  ne  pouvait  pas  être  moi  puisque je  venais  de  passer  une  trentaine de  minutes  à l'infirmerie de  l'établissement. Il  me  demanda  de  le  suivre  en  permanence  pour  être confronté avec  mon accusateur. C'est à ce  moment précis qu'un  de  mes camarades de classe , pris  de  remords, avoua. C'était lui, en effet, qui  avait  lancé  un  morceau de craie  vers  le surveillant. Il regrettait d'avoir  laissé  les  soupçons  de  celui-ci  porter sur  moi. Le surveillant  reconnaissant  son erreur fit amende  honorable à mon égard. J'étais  passé à deux doigts  d'une  injustice. Enfin ma sincérité  avait été  reconnue. En  moi-même, j'étais  très  soulagé (e). Et c'est  le coeur léger  que  je  ris  la  direction  du  portail pour  rentrer chez moi.