Le texte est une partie du journal intime de Maupassant. Une page est accordée à un jour, et en l'occurrence ce texte date du 10 septembre.
Il est écrit à la première personne et les verbes sont conjugués au présent de l'indicatif.
L'auteur raconte son histoire chronologiquement, dans l'ordre où se passent les évènements, et ce jour-là il essaie de tuer le horla, seulement il n' parvient pas donc il tente de se tuer à son tour.
Par le monologue de l'auteur nous plongeons à travers ses pensées, et nous arrivons même parfois à obtenir le même point de vue que le narrateur.
Les autres personnages du texte ne nous paraissent pas importants du fait que le narrateur ne nous les décrit pas comme il se doit, nous ne pouvons donc pas ressentir ce qu'ils ressentent, mais juste sentir les émotions du narrateur.
Il est difficile pour le lecteur de se rendre compte que le narrateur n'est pas dans un état psychologique normal, entre l'angoisse et la fiction, difficile de faire la part des choses.
Le narrateur est en fait complètement fou à la fin de ce texte en allant jusqu'à brûler sa maison.
Le pire c'est que dans son délire il n'a plu penser à ses servants, et ils se sont retrouvés pris dans les flammes en hurlant par les fenêtres brisées.