Réponse :
Le narrateur est un enfant qui dialogue avec Mlle Alloison et lui répond avec politesse. Il est gourmand et curieux.
Tout est écrit de manière à ce que l'on puisse comparer l'épicerie-mercerie à un navire.
L’éclairage de la lampe à pétrole transforme la pièce et lui donne des formes arrondies qui évoquent la cale d’un navire.
Les provisions de l’épicerie évoquent celles qui se trouvent dans la cale d’un navire.
Le plancher souple évoque le bois du navire et le mouvement de la mer.
La souplesse du plancher donne l'impression d’un mouvement qui ressemble à celui de l’eau.
Mais on est encore pleinement dans la réalité : c’est bien le plancher qui ondule.
L'enfant voyage grâce à son imagination et ne quitte pas en fait l’épicerie-mercerie. C’est donc un voyage imaginaire.
BONNE SOIREE !
