Bonsoir ! Je trouve que tu as beaucoup d'imagination, et la chute est très surprenante !
Il y avait beaucoup de fautes d'orthographe en revanche, mais surtout des fautes d'inattention (aucun accent, foto au lieu de photo, des oublis de pluriels, oubli des majuscules aux noms propres...). J'ai corrigé tout cela, voici le texte corrigé :
Marthe parcourait toujours les mêmes rues, les plus pauvres
du quartier de la ville. Les gens l'avaient connue solitaire mais depuis
quelques temps elle errait avec des garçons nommés Emael et Enael avec
qui elle semblait tout partager.... là où elle se trouvait ces garcons y
étaient aussi. Jamais on ne les verrait l'un sans les autres.
Marthe était devenue dépendante à la drogue à l'âge de six ans. Emael,
Enael et elle volaient de l'argent dans les rues pour s'en procurer mais
récemment on les reconnaissait dans tout le quartier. Un jour, ils ont
décidé d'aller cambrioler le quartier voisin, qui était le plus riche du
pays. Il fallait tout planifier car il n'y avait pas place à l'erreur. A
20h ils étaient à la station de métro. Rien ne semblait bizzare et il
commencait à faire froid. Peu de temps après un homme poilu, bizzare et
d'une laideur repoussante est arrivé. Marthe voulait rire mais elle en
était incapable. Elle regarda Emael et Enael qui ne réagissaient pas.
Après une trentaine de minutes le métro est arrivé.Des gens sont
descendus comme d'habitude et ils ont embarqué. Marthe s'est assise et
le monsieur est venu s'asseoir en face d'elle. Il la fixait comme si ils
se connaissaient ou ils s'étaient déjà vus. Le regard de cette fille
était fixé sur une chose qui clignotait dans la poche du monsieur. Plus
le métro avançait, moins il y avait de gens. Au troisième arrêt il ne
restait qu'Emael, Enael, Marthe et le monsieur. On pouvait lire sur les
expressions faciales de l'homme qu'il était inquiet. Il avait téléphoné à quelqu'un et avait dit : " Il faut qu'on en finisse. C'est maintenant ou jamais " puis raccroché. C'est à ce moment là que Marthe comprit. Elle entendait toujours la boite qui clignotait de plus en plus vite. Elle voulait réveiller Emael et Enael mais elle en était incapable. La peur la gagna, sa voix se noua, son corps se raidissait de seconde en seconde. le monsieur toucha dans sa poche et sorti une photo de Marthe et ses frères jumeaux Emael et Enael. Il prononça "Marthe je suis votre père" mais il était trop tard car ce qui restait de ses frères c'était des urnes dorées remplies de leurs cendres. Elle descendit du métro avec ses deux urnes sans dire un mot.
