Découvrez une mine d'informations et obtenez des réponses sur FRstudy.me. Trouvez des solutions fiables à vos questions rapidement et facilement avec l'aide de nos experts expérimentés.
Sagot :
Une femme attend son mari depuis 18 heures, l'heure tourne, il est 23 heures lorsqu'il rentre.
La femme (en criant) : C'est à cette heure ci que tu arrives ?
Le mari : (d'un air surpris) : Du calme, pourquoi tu m'agresses ainsi ?
La femme (levant les mains au ciel) : Ca fait depuis 18 heures que je t'attends, je me faisais du soucis espèce d'idiot !
Le mari (d'un air attendri) : J'ai eu une réunion au dernier moment.
La femme (le fixant dans les yeux) : Et tu n'aurais pas pu me téléphoner pour m'avertir ?
Le mari (en rougissant et en bégayant) : Heu...à vrai dire....j'avais oublié mon portable dans la voiture.
La femme : Tu veux me faire prendre des vessies pour des lanternes ?
Le mari (tête basse) : Mais non, que dis-tu ? Qu'insinues-tu ?
La femme : Ce que j'insinue ? C'est que tu mens voila tout !
Le mari (haussant le ton) : Non! Non je ne mens pas!
La femme : Pourquoi tu es tout rouge ?
Le mari bredouillant : J'ai juste un peu chaud....
La femme (lui coupant la parole) Oui, c'est d'avoir trop bu au bistrot du coin qui te donne chaud, tu pues la vignasse !
Le mari : Tu me soules ! Tais toi donc !
La femme (se moquant de lui) Tu n'as pas besoin de moi pour être ivre ! Puisqu'il en est ainsi, je sors avec mes amies !
Elle claque la porte et s'en va.
La femme (en criant) : C'est à cette heure ci que tu arrives ?
Le mari : (d'un air surpris) : Du calme, pourquoi tu m'agresses ainsi ?
La femme (levant les mains au ciel) : Ca fait depuis 18 heures que je t'attends, je me faisais du soucis espèce d'idiot !
Le mari (d'un air attendri) : J'ai eu une réunion au dernier moment.
La femme (le fixant dans les yeux) : Et tu n'aurais pas pu me téléphoner pour m'avertir ?
Le mari (en rougissant et en bégayant) : Heu...à vrai dire....j'avais oublié mon portable dans la voiture.
La femme : Tu veux me faire prendre des vessies pour des lanternes ?
Le mari (tête basse) : Mais non, que dis-tu ? Qu'insinues-tu ?
La femme : Ce que j'insinue ? C'est que tu mens voila tout !
Le mari (haussant le ton) : Non! Non je ne mens pas!
La femme : Pourquoi tu es tout rouge ?
Le mari bredouillant : J'ai juste un peu chaud....
La femme (lui coupant la parole) Oui, c'est d'avoir trop bu au bistrot du coin qui te donne chaud, tu pues la vignasse !
Le mari : Tu me soules ! Tais toi donc !
La femme (se moquant de lui) Tu n'as pas besoin de moi pour être ivre ! Puisqu'il en est ainsi, je sors avec mes amies !
Elle claque la porte et s'en va.
(La porte de gauche claque, le bagagiste, costume gris et petits souliers, entre sur scène, très paniqué et marche de long en large)
"- mais c'est pas vrai, pourquoi cela m'arrive-t-il à moi (en levant les yeux au ciel )"
(La porte de droite claque à son tour et une servante, Isabelle, jupe noire et tablier blanc, entre à son tour)
"- Bonjour Marcel, que t'arrive-t-il ?
- C'est la catastrophe. Pour une fois qu'une star vient dans cet hôtel, je perds son bagage, mais c'est pas vrai (levant de nouveau les yeux au ciel), c'est pas vrai."
Isabelle catastrophée
"- Tu veux dire que tu as perdu le bagage de...."
Marcel l'interrompt brutalement.
"- Chut chut tu sais bien qu'on a pas le droit de prononcer son nom.
- Oui je sais, tant qu'elle est dans l'hôtel, on ne dois pas prononcer son nom. (Isabelle espiègle) mais si tu veux mon avis, sans bagage elle ne va pas rester longtemps (Isabelle pouf de rire)
- Ah non tu ne vas pas te mettre à faire du mauvais humour (Marcel lève les bras au ciel) la situation est bien trop grave, que va dire Bruno le Directeur, il va me renvoyer.
(La porte de gauche s'ouvre et Bruno le Directeur entre, costume et cravate)
(Isabelle à part)
"- Quand on parle du loup
- Bonjour Marcel, c'est vous que je cherchais"
(Marcel prêt à s'évanouir)
- Oui Monsieur le Directeur ?
- Vous ne devinerez jamais ce que je viens de voir, (s'avançant vers Marcel pour ajuster sa cravate), les gens jettent vraiment de tout. Figurez vous que je passais devant le camion benne quand j'ai vu que les éboueurs s'apprêtaient à charger un bagage de grand luxe, étonnant non ?
(Isabelle s'éclipse à pas de loup, Marcel ouvre grand la bouche)
- Vous n'avez rien perdu, par hasard ? Dites moi Marcel la prochaine fois que vous retirer les bagages d'un coffre, éviter de les poser près des bennes et surtout de les oublier ! (le Directeur serre un peu plus fort le noeud de cravate)
(Marcel de plus en plus mal et bégayant)
- oui Monsieur le Directeur, bien Monsieur le Directeur
- Le bagage vous attend à la laverie, vous voyez pourquoi ?
- Oui, oui, j'y vais de suite (Marcel sort de la scène en reculant)
(Le directeur essuie une poussière imaginaire sur son épaule)
- Ah le personnel de nos jours, c'est vraiment plus ce que c'était."
(Le rideau tombe)
"- mais c'est pas vrai, pourquoi cela m'arrive-t-il à moi (en levant les yeux au ciel )"
(La porte de droite claque à son tour et une servante, Isabelle, jupe noire et tablier blanc, entre à son tour)
"- Bonjour Marcel, que t'arrive-t-il ?
- C'est la catastrophe. Pour une fois qu'une star vient dans cet hôtel, je perds son bagage, mais c'est pas vrai (levant de nouveau les yeux au ciel), c'est pas vrai."
Isabelle catastrophée
"- Tu veux dire que tu as perdu le bagage de...."
Marcel l'interrompt brutalement.
"- Chut chut tu sais bien qu'on a pas le droit de prononcer son nom.
- Oui je sais, tant qu'elle est dans l'hôtel, on ne dois pas prononcer son nom. (Isabelle espiègle) mais si tu veux mon avis, sans bagage elle ne va pas rester longtemps (Isabelle pouf de rire)
- Ah non tu ne vas pas te mettre à faire du mauvais humour (Marcel lève les bras au ciel) la situation est bien trop grave, que va dire Bruno le Directeur, il va me renvoyer.
(La porte de gauche s'ouvre et Bruno le Directeur entre, costume et cravate)
(Isabelle à part)
"- Quand on parle du loup
- Bonjour Marcel, c'est vous que je cherchais"
(Marcel prêt à s'évanouir)
- Oui Monsieur le Directeur ?
- Vous ne devinerez jamais ce que je viens de voir, (s'avançant vers Marcel pour ajuster sa cravate), les gens jettent vraiment de tout. Figurez vous que je passais devant le camion benne quand j'ai vu que les éboueurs s'apprêtaient à charger un bagage de grand luxe, étonnant non ?
(Isabelle s'éclipse à pas de loup, Marcel ouvre grand la bouche)
- Vous n'avez rien perdu, par hasard ? Dites moi Marcel la prochaine fois que vous retirer les bagages d'un coffre, éviter de les poser près des bennes et surtout de les oublier ! (le Directeur serre un peu plus fort le noeud de cravate)
(Marcel de plus en plus mal et bégayant)
- oui Monsieur le Directeur, bien Monsieur le Directeur
- Le bagage vous attend à la laverie, vous voyez pourquoi ?
- Oui, oui, j'y vais de suite (Marcel sort de la scène en reculant)
(Le directeur essuie une poussière imaginaire sur son épaule)
- Ah le personnel de nos jours, c'est vraiment plus ce que c'était."
(Le rideau tombe)
Votre engagement est essentiel pour nous. Continuez à partager vos expériences et vos connaissances. Créons ensemble une communauté d'apprentissage dynamique et enrichissante. FRstudy.me est votre source de réponses fiables et précises. Merci pour votre visite et à très bientôt.
